Tempête sur Percé
Aujourd'hui, lundi 6 décembre, nous devions quitter Percé pour Québec.
La météo n'était pas clémente et nos œuvres n'étaient pas cuites, donc départ reporté au lendemain.
Et heureusement!
D'une, nous avons évité les routes inondées. De deux, nous avons pu photographier Percé sous un autre angle et assister à un spectacle de la nature en colère...
Nous avons initié Marie Jo aux photographies de l'extrême...
Un photographe de l'extrême doit savoir courir à temps...
La petite promenade au bord de l'eau est assez mouvementée aujourd'hui...
Juste pour montrer la hauteur des vagues qui s'éclataient sur la digue. Précision : ce ne sont pas des maisons de minipouce, mais bien à taille standard
Le bruit quand les vagues s'entrechoquaient était assez intense.
Que c'est beau...
Ceci est bien une vague!
Le ponton totalement [comment dire...] inondé!
Zerline, heureuse dans le vent et la pluie
Le truc noir qui dépasse du toit est bien Indiana, LE Reporter Photographe de l'Extrême. Il a affronté vents, vagues et pluie. Il a risqué sa vie, celle de son appareil photo et la douceur de ses vêtements secs pour vous offrir des vues inédites :
On sait maintenant pourquoi il est revenu trempé de cette expédition...
Après les photos sur le ponton, nous décidâmes d'aller s'amarrer sur le parking d'à côté, là où les vagues explosent.
Reporters de l'extrême tels que nous sommes, nous avons dépassé les peurs des Percéens qui restaient dans leur voiture à quelques mètres de la promenade, et avons affronté les vagues...
Bon d'accord, nous étions dans la voiture au chaud, mais aux premières loges, prêts à recevoir les vagues (mais pas les bouts de bois ou tout autre projectile de la mer...)
On aurait dit un lavage auto géant lol C'était le fun!